Parc du Costa Rica : National Braulio Carrillo
D’une superficie de 47 752 hectares, le Parc National Braulio Carrilo fait partie de l’aire de conservation de la Cordillère centrale. On distingue une saison sèche de janvier à avril. Mais de nombreuses zones du parc sont humides toute l’année. Ce parc fut nommé après le 3ème président du Costa Rica, Braulio Carrilo Colina. Bien qu’il fût un dictateur, en revenant au pouvoir grâce à un coup d’état et en se proclamant président pour toute la vie, il a construit des routes reliant les deux côtes et permit au Costa Rica de sortir de la pauvreté. C’est parce que la route Carrillo, qui connecte l’Est et l’Ouest du pays, traverse ce parc, qu’il se nomme aujourd’hui ainsi. Le parc est aujourd’hui divisé en 7 zones, chacune abrite des éléments particuliers protégés. En effet, avec une forte présence volcanique, et des sols divers, la biodiversité développée au sein du parc est très riche et variée. On retrouve ainsi 6000 espèces de plantes dans le parc, 333 espèces d’oiseaux, dont des rares, comme le Quetzal.
On y retrouve un volcan endormi – le Volcan Brave – et trois éteints. C’est un Parc National clé pour les ressources en eau que l’on y trouve. Une forêt primaire de nuage et une autre pluviale recouvrent la totalité du parc, et donne ainsi lieu à un paysage incroyable, intact, immaculé. De nombreuses parties sont encore aujourd’hui inexplorées : en effet, à cause de la végétation exubérante du lieu, il est difficile de s’aventurer dans cette abondante jungle. Heureusement de nombreux petits sentiers ont été développés pour que les voyageurs puissent pénétrer dans le cœur de cette nature tropicale sauvage. Vous aurez ainsi la possibilité d’emprunter l’un des nombreux itinéraires, allant de 1km à 40 km, avec des dénivelés de 25m presque 3000 mètres. Permettant une découverte pour tous les niveaux, au cours d’une heure ou de plusieurs jours de trek.
Parc National Cahuita
Le Parc National de Cahuita est situé à proximité de la ville de Cahuita, au sein de la province de Limon, sur la côte Caraïbe du Costa Rica. Le climat qui prédomine est humide, mais les pluies sont moins présentes de janvier à avril, et de nouveau en septembre et en octobre. Le nom de Cahuita vient des mots indigènes « Kawe » soit « acajou » et « ta » soit « pointe » = la pointe d’acajou. Il a été créé afin de protéger la plus grande barrière de corail du pays. Il appartient à l’aire de conservation de La Amistad – Caraïbes. Sa particularité majeure est qu’il est un parc terrestre et marin. Sur sa longue plage de sable blanc des tortues marines viennent pondre leurs œufs (cf : paragraphe « Tortues aux Costa Rica »).
Sur 1050 hectares, les voyageurs pourront observer la ponte des tortues Imbriquées et Luth mais aussi faire de la plongée sous-marine, afin d’admirer la splendeur légendaire des Caraïbes. Mais ils pourront aussi apprécier de nombreux sentiers de découverte. Au sein de la partie marine, 123 espèces de poissons ont été répertoriées, ainsi qu’une variété importante de coraux. Les récifs coralliens sont magnifiques, et le demeurent malgré le dramatique tremblement de terre de 1991. Il est possible d’aller les explorer sans pour autant faire de la plongée en apnée. Pour cela il faut aller faire un tour en bateau, et plonger avec son masque et son tuba. Dans le parc terrestre, vous pourrez effectuer des randonnées à la rencontre des singes capucins, des coatis… Un sentier balisé permet de faire le tour de la pointe de la forêt primaire. Il abrite également une forêt tropicale humide, des marécages et des marais. Cela donne une biodiversité très intéressante en terme de flore essentiellement et de paysages.
Des itinéraires de randonnées ont été créés afin de donner la meilleure visite aux voyageurs. Un des plus beaux est un itinéraire de 7 ou 14 km, tout dépend du point de départ, sans dénivelé, donc en quatre heures il peut être envisagé.
Parc National Chirripo
Le Parc National de Chirripo est immense : 50 828 hectares. Il englobe également le plus haut sommet du Costa Rica : Cerro Chirripo. Une des particularités est que ce parc est protégé par un système de contingence, c’est à dire qu’il n’est pas possible de se trouver dans ce parc à plus de 40. Par conséquent il est impératif de réserver au préalable auprès des autorités. Ceci dit, si vous voyagez avec une agence de voyage ou un tour-opérateur, la majorité du temps ils prennent en charge cette demande. Les températures varient beaucoup entre le jour et la nuit : il peut très bien faire 24 la journée, pour geler le soir.
L’attrait numéro 1 de ce parc est le plus haut sommet du Costa Rica, qui a même donné son nom au Parc : Cerro Chirripo. En effet, il est possible d’en faire l’ascension. Ceci dit, celle-ci requiert un minimum d’expérience dans les randonnées en haute montagne ainsi qu’un matériel adéquat, comme un duvet résistant aux basses températures. Il faut compter 3 jours (A/R). Afin de faciliter ce trek, le refuge Los Crestones a été mis en place sur le chemin, environ à mi-chemin. Vous pourrez dormir, manger et vous doucher au chaud. Ceci dit il faut le réserver longtemps à l’avance. Sinon il y a une aire de camping pour une expérience plus authentique. Il y a 22 km à gravir avec 2520m de dénivelés pour atteindre le sommet. Vous traverserez des forêts tropicales et de moyennes montagnes mais aussi des plaines à perte de vue. Le Parc National de Chirripo offre d’excellentes opportunités d’observation de la faune et de photographie.
Enfin on peut y faire, de l’escalade : en effet les falaises du parc sont parmi les dernières où les grimpeurs peuvent exercer des grimpes nécessitant de la technique.
Parc National La Amistad
Il est immense et est un Parc International : le Parc de La Amistad est placé sous la protection du Patrimoine de l’UNESCO. A cheval sur les provinces de San José et de Puntarenas, il appartient à l’aire de conservation du même nom. Il englobe une partie de la Cordillère Talamanca. La Amistad s’étend du Costa Rica au Panama sur 570 045 hectares. C’est une forêt de nuages qui abrite 20% des espèces d’Amérique Centrale. Au Costa Rica il débute à la frontière du Parc National de Chirripo et remonte jusqu’à la frontière avec le Panama. Il y a différents points d’accès, mais aucun n’est facile à atteindre. Il est le cœur du projet de restauration de la biodiversité Panaméricaine, et agit comme un corridor biologique, afin de permettre aux espèces de mieux se développer dans l’habitat voisin.
En tant que membre du patrimoine mondial de l’humanité le parc international La Amistad, cette zone naturelle est considérée comme ayant un esthétisme exceptionnel, mais aussi possédant des traits caractéristiques des grands stades de l’histoire de la terre. On y retrouve aussi un environnement naturel aux formes extraordinaires. Enfin, ce site est un lieu clé de la conservation in situ des espèces animales et florales ayant une valeur universelle. Il a une altitude pouvant atteindre les 3549m, point culminant du Cerro Kamok, mais sinon elle reste modérée. Lors de vos randonnées vous pourrez admirer une flore unique, mais aussi des animaux rares et magnifiques, comme le jaguar, les pécaris, les tapirs, des singes ou encore des paresseux. Les cieux sont animés par de nombreuses espèces d’oiseaux.
Parc du Costa Rica : National Tortuguero
Le Parc National de Tortuguero est sur la côte Caraïbes, au sein de la province de Limon, dans l’aire de conservation de Tortuguero. Son nom vient du fait que de nombreuses espèces de tortues marines viennent pondre sur les plages de cette région. Il est surtout un des lieux clé de la ponte de la tortue verte, et afin d’aider à sa conservation, les autorités ont décider de protéger la zone où cette espèce pond chaque année de juin à octobre. Les touristes qui auront la chance d’assister à la ponte des tortues repartiront avec des souvenirs exceptionnels. Pour cela, il faut se lever la nuit, puisque toutes les espèces marines se repèrent à la lueur de la lune qui se reflète sur la mer.
Ce parc est l’un des plus visité du Costa Rica. Outre le fait qu’il est un observatoire de qualité pour la ponte des tortues marines, il est aussi équipé de canaux au sein desquels vous pourrez naviguer, tout en admirant la fantastique, luxuriante et verdoyante nature qui en borde les rivages. Celle-ci se compose presqu’exclusivement de palme. De nombreux oiseaux vivent au sein de cette végétation tropicale, tout comme des singes, des paresseux… Tortuguero a comme surnom, et à juste titre « Petite Amazonie ». Il est possible de se balader à pied au sein du parc, de nombreux sentiers sont balisés à cet effet. Des excursions à bord de canots sont possibles, allant de quelques heures à plusieurs jours avec des nuits en bivouaques sur les rives. Le système naturel de lagunes et de canaux, permet une observation exceptionnelle, calme et paisible, à la recherche de caïmans, perroquets verts et autres grenouilles. Comme dit précédemment, plus de 25% du Costa Rica est protégé, dans des buts de conservation et de préservation de l'exceptionnelle biodiversité locale. Ne pouvant hélas pas rédiger un paragraphe détaillé sur tous ces espaces, vous retrouverez ici les Parcs Nationaux incontournables, à visiter lors de votre séjour au Costa Rica.
Parc National Barra Honda
Le Parc National de Barra Honda s’étend sur presque 2 300 hectares. Il a été créé en 1971, à l’origine pour préserver son incroyable réseau de grottes. En effet, de nombreuses grottes de formations calcaires sont à visiter et à explorer, certaines vont jusqu’à 250 mètres de profondeur. Il faut savoir, que seulement 50% de ces grottes ont été explorées jusqu’à présent, donc toutes ne sont pas visitables. Néanmoins, le spectacle est incroyable. La visite de ces grottes nécessite un équipement spécifique puisque certaines grottes ont des entrées verticales, avec des trous de 52 mètres avant de pouvoir marcher. Il est possible de visiter certaines grottes sans un guide, mais ce n’est pas vraiment recommandé, puisqu’il faut avoir un bon niveau de descente en rappel et aussi une connaissance de la spéléologie.
Les plus belles grottes sont :
- La Terciopelo : après le « trou » de 15 mètres initial, vous découvrirez un ensemble de formation de calcaire inimaginable. C’est la grotte la plus explorée qu’il existe. Elle tient son nom d’un serpent, le Terciopelo, qui avait été retrouvé mort au fond de cette grotte, lors de la première expédition. Vous y découvrirez des formations inhabituelles formant des « statues » renommées artistiquement « popcorn », «œufs frits » ou encore « dent de requin ».
- La Trampa : c’est elle qui a l’entrée la plus impressionnante du parc : un « trou » de 52 mètres qui permet de rejoindre les cavités de la grottes. Les pièces sont immenses, dont une, faite uniquement de calcaire blanc.
- Santa Ana : cette caverne est la plus profonde jusqu’à présent explorer, mais les spéléologues estiment qu’elle doit aller encore plus bas. Ici se sont les formations les plus fragiles qui ont été observées. De très nombreuses stalagmites et stalactites habillent les différentes pièces de cette grotte souterraine.
- Pozo Hediondo : le nom est dû à la concentration des chauves souris au sein de cette grotte, et à l’odeur qui en a résulté. Etonnement, c’est une des rares grottes où les chauves souris ont élu domicile, alors que dans les autres cavernes, quasiment aucune n’avait été observée. Avec une entrée présentée sous forme de « trou » une nouvelle fois, de 35 mètres, vous découvrirez 3 salles principales, avec des formations toutes extraordinaires.
- Nicoa : elle est l’une des rares avec 2 entrées, la première a un « trou » de 25 mètres la seconde, de 30 mètres. Son intérêt touristique est non seulement pour ces fantastiques et grandioses stalactites, mais aussi parce qu’elle est la seule à contenir des restes humains. En effet, plusieurs squelettes ont été identifiés dans les 5 pièces de la grotte. Le mystère est que l’on n’arrive pas à expliquer la raison ou la logique. Pour pénétrer dans cette caverne, vous devez demander l’autorisation, et surtout ne touchez à rien : un travail anthropologique et archéologique doit être fait.
Parc National Carara
Le Parc National de Carara a une superficie de 5 242 hectares. Il est l’un des lieux les plus riches en biodiversité tropicale. Sa diversité d’espèces animales et végétales. Il est possible de visiter ce site en une journée, si vous résidez à San José. Il est aussi une superbe étape sur votre voyage en direction des parcs du sud du Costa Rica. Le climat y est sec en mars et avril, et une saison des pluies est à anticiper de mai à novembre.
Le nom du Parc National vient du vocabulaire indigène, ou Carara qui signifie rivière de crocodiles. Une importante communauté indigène a vécu sur ces terres et a laissé de son existence de nombreux sites archéologiques. Il s’agit de vestiges précolombiens, hélas pas ouverts au public. Au sein des tombeaux explorés, on a retrouvé, un système de tombe complexe, au sein duquel, le défunt ne résidait pas seul. En effet, les archéologues ont retrouvé toutes les choses dont il pouvait avoir besoin pour son long voyage : armes, paniers de nourriture, mais plus étonnant femmes et esclaves.
Ce parc protège une forêt de transition, c’est-à-dire un lieu qui est le résultat d’une fusion entre les forêts sèches du Nord et les forêts humides du Sud, mais aussi de la diversité des sols, et des importantes précipitations entre les différentes altitudes. En effet, sur les sommets du parc, les précipitations sont en moyenne de 3200 millimètres, alors que les zones basses ne reçoivent qu’à peine 2000 millimètres. Cela favorise alors une biodiversité florale extrêmement variée. Lors de vos randonnées vous pourrez apercevoir de nombreuses espèces animales menacées : le crocodile américain, des perroquets Ara Rouge… 360 espèces d’oiseaux y ont été recensées, et vous pourrez voir un singe capucin ou un coati. Vous évoluerez parmi une faune riche et parfois même envahissante : Guanacaste, qui est l’arbre national, les arbres Guarumo, Cornizueli (un acacia costaricien et le Cafecillo, petit arbuste endémique.
Des sentiers sont ouverts au public, la plupart sont accessibles à tous et offrent une vision globale de Parc National de Carara, en 2 ou 3 heures.
Parc National Corcovado
Le Parc National de Corcovado couvre un peu plus de 42 hectares. Il est particulièrement intéressant d’un point de vue géologique, faunique et florale. Il est situé sur la Côte Ouest de la péninsule d’Osa, et l’occupe massivement. Ce plateau irrégulier, atteignant près de 800m d’altitude, subit de nombreuses secousses sismiques, ce qui est à l’origine de la surface inhabituelle du Parc. En accédant à ce parc que par le coté Ouest, il a pu rester très sauvage. Vous y découvrirez une succession de rivières, cascades, criques, côtes rocheuses et petites plages. La forêt tropicale qui le recouvre est considérée comme l’une des plus riches en Amérique centrale. Plus de 500 arbres ont été répertoriés, dont des espèces qui atteignent 70 mètres de haut. D’autres types de forêts sont à mentionner au sein du Parc National de Corcovado : des forêts de montagne, des marais, des marécages et des mangroves. Près de 400 oiseaux y évoluent auprès des 140 mammifères. Les reptiles ne sont pas en reste : jusqu’aujourd’hui on en dénombre 117 espèces. De nombreuses espèces sont classées comme « gravement en danger d’extinction », comme le jaguar, le crocodile américain, le caïman…
Ce parc est l’un des plus sauvage, mais cela implique quelques contraintes auxquelles le voyageur doit se préparer. En effet, puisqu’il est sauvage, il faut marcher longtemps, sous un taux d’humidité très important même en saison sèche : environ 100%. Les températures sont en moyenne de 26 degrés. Bien que vous trouverez des chemins balisés, qu’il vous faudra emprunter pour explorer cette nature luxuriante, préparez vous à «glisser», surtout pendant la saison des pluies où le sol devient particulièrement glissant : en effet, le sol du parc est constitué d’argile et donc avec l’humidité, il devient très boueux.
Parc National Guanacaste
Parc d’une vingtaine d’année, le Parc National Guanacaste est situé au sein de la province du même nom et fait partie de l’aire de conservation de Guanacaste. Sur 32 496 hectares, il a été protégé pour protéger les pentes des Volcans Cacao et Orosi, des forêts de conifères et la forêt montagneuse humide. La protection de cette partie du Costa Rica avait pour but également à la restauration de la forêt tropicale, victime de déforestation.
Cette région est aujourd’hui considérée comme une zone de transition entre la forêt tropicale sèche et les forêts de nuages – forêts de montagne humide – ce qui permet d’abriter des espèces particulières. Très verdoyant, il vaut le détour puisqu’il permet de très beaux paysages, et, est surtout préservé du tourisme, puisqu’il est peu visité. Une belle opportunité de se retrouver seul au sein d’espaces immaculés.
De nombreux itinéraires de randonnées sont développés permettant une découverte du parc accessible à tous. De 3 à 18km, vous traverserez des pâturages, des forêts et admirerez les panoramas verts et sauvages qu’offre le Costa Rica, face à des volcans. Il y a même un site de pétroglyphes précolombiens, gravés à même les blocs de roches. Il est également possible de faire l’ascension du volcan Cacao, pour cela il faut compter 9 heures environ, pour venir à bout des 18km et des 1100 mètres de dénivelés.
Parc du Costa Rica : National Manuel Antonio
Couvrant 1624 hectares, le Parc National de Manuel Antonio est l’un des plus fréquenté par les touristes au Costa Rica. Bénéficiant d’une bonne accessibilité comparé à d’autres, il est le plus connu même si il fait parti des parcs nationaux les plus petits du pays. Il existe depuis 1972. Il fait parti de l'aire de conservation du Pacifique Central, et ainsi fait l’objet de restriction en nombre de visiteur au sein du Parc, afin de favoriser une meilleure conservation : 600 personnes en semaine et jusqu’à 800 le week-end. Le parc est un joyau verdoyant de végétation à l’état sauvage. Sa forêt tropicale humide abrite une importante faune. A l’origine elle recouvrait toute la région, mais avant que cette zone soit protégée, elle fût l’objet de déforestation. Aujourd’hui outre cette belle forêt, vous prendrez plaisir à vous balader sur les belles plages et sur les îlots rocheux qui bordent le parc. Au sein de ses plages, si vous vous aventurez dans les eaux de l’Océan Pacifique vous pourrez plongé à la rencontre d’une faune aquatique des plus riches.
Il ne faut pas se fier à la petite taille de ce parc : la liste de ses habitants est longue. Vous pourrez ainsi croiser 353 espèces d’oiseaux dont des pélicans bruns, des fous bruns, des aigles tyrans, des Ortalides à tête grise ou encore des trogons de baird. Au niveau des mammifères ce sont les espèces de chauves-souris qui remportent le record : 55 espèces recensés pour 99 espèces de mammifères au sein du Parc. Parmi les autres types d’animaux que vous verrez, il y a : des tapirs, des ocelots, des écureuils mais aussi des singes dont le singe à face blanche. Il est aussi un des derniers refuges des singes Titi. De nombreux reptiles se développent aussi au sein du parc. On recense des iguanes verts, ctensauras, serpents et tortues de mers.
Des sentiers bien balisés vous permettent une découverte adaptée à tous et complète du parc. La baignade est autorisée, ainsi vous pourrez profiter d’un peu de repos suite à votre randonnée. La meilleure plage est aussi la plus fréquentée, c’est la plage de Manuel Antonio. Son avantage est qu’elle est plus sûre, et plus surveillée que sa voisine la plage Espadilla, qui est sujette à d’importants courants. Les treks proposés vont de petites balades à de vraies randonnées de 7km.
Parc National Marino Ballena
Le Parc National de Marino Ballena est divisé en 2 parties : une partie terrestre et une partie marine. La première englobe 200 hectares et la seconde presque 6000 hectares. Il inclut une partie de l’océan, des petites îles et de belles plages. Parmi les îles, il y a celles de Ballena et de Rocas las tres Hermanas. Qui sont deux des plus beaux lieux au Costa Rica pour la plongée sous–marine. Le parc tire son nom du mot espagnol pour « baleines » puisque de nombreuses espèces y sont recensées chaque année : le dauphin d'Électre, le grand cachalot ou encore le dauphin à bec long. Il a été créé afin de préserver la faune marine du sud de l’Océan Pacifique. C’est un paradis pour les amateurs d’activités et d’observation aquatique. Vous pourrez en effet y faire du snorkeling, de la plongée avec tuba, ou de la plongée en apnée. Bien évidemment, vous trouverez de belles plages de sable pour vous reposer, bronzer et profiter du soleil comme la playa Ballena ou la playa de Arco.
Parc National Palo Verde
Le Parc National de Palo Verde a été créé en 1978, au sein de l’aire de conservation Arenal – Tempisque. Sur une surface de 18 409 hectares, il protège ce qui est appelé les plaines du Rio Tempisque. Ce lieu abrite des habitats divers et variés, rares et importants pour le biodiversité. Ainsi, on y retrouve des marécages d’eaux salées et d’eaux douces, des forêts de conifères et des marais de mangroves, qui sont des points clés pour la migration des oiseaux aquatiques et échassiers : pendant les mois de janvier et de février c’est ici que vous y verrez la plus grande concentration d’Amérique centrale. Lors de vos randonnées, vous pourrez croiser des cerfs à queue blanche, des agoutis, des capucins, des coatis… Mais aussi des crocodiles. Divers sentiers ont été développés au sein de Palo Verde. Souvent de courte distance, ils permettent néanmoins une belle découverte du parc, qui nécessitent une bonne demi-journée voire une journée entière de marche puisqu’ils alternent montées et descentes, plus ou moins pentues.
Parc National Santa Rosa
Le Parc National de Santa Rosa englobe 38 674 hectares, au sein de la province de Guanacaste. Mais il comprend aussi une partie marine, de 78 000 hectares. Le parc a une histoire unique : sa création en 1971 avait pour but de protéger la zone où s’est déroulé la bataille de Santa Rosa.
En ayant une frontière avec le Nicaragua, il est une porte d’accès pour l’invasion du Costa Rica par les Américains. Le 20 mars 1856, le combat qui s’y est déroulé fut à l’origine d’un événement historique pour la population : la naissance du héros national : Juan Santamaria. C’est ici que s’est déroulé les affrontements ente les costariciens et les troupes de Walker, qui souhaitaient envahir les pays d’Amérique Centrale. Après cette bataille, les troupes de Walker bâtèrent en retraite au Nicaragua. La suite de la bataille eu lieu au Nicaragua, où, Juan Santamaria se porta volontaire pour une mission suicide, afin de capturer Walker. En 1955, il y eu de nouveau une tentative d’envahissement, conclut par un affrontement entre Nicaraguayens et Costaricien au même endroit que celle de 1856. Encore une fois, le Costa Rica réussi à garder son indépendance et ses terres. Depuis, ce lieu est protégé, et la vie sauvage a repris son cours. C’est pour cela, que lorsque vous pénétrerez dans cet univers, vous serez submergé par une forêt tropicale sèche. Elle est la seconde raison de la création du parc, puisqu’il abrite un des plus important échantillon de ce type, en Amérique centrale. Le long du pacifique, la Mangrove rouge vous surprendra : elle renvoie une image caractéristique des côtes costariciennes. La faune est loin d’y être absente, et lors de vos randonnées vous pourrez rechercher : coyotes, pécaris, coatis, singes hurleurs et capucins. Les sentiers vont de balades de quelques heures, à de vrais trekkings de plusieurs jours au sein du parc.
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